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| | | AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! |  |
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| | Sujet: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 14:36 | |
| ❝ On dit que ce sont les meilleurs qui partent en premier. Alors j'espère être mauvais. ❞ → BIENVENUE À WOODEN LANE, JE SUIS VOTRE AGENT IMMOBILIER. POUVEZ-VOUS M'EN DIRE UN PEU PLUS SUR VOTRE IDENTITÉ ► PRÉNOMS ET NOMS : AUSTEN APPLEWOOD, pour vous servir.
► AGE : vingt-cinq ans.
► DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Wooden Lane, 20 décembre 1985.
► ORIGINES ET NATIONALITÉ : Américain.
► CARACTÈRES : emmerdeur - gamin - moqueur - fanfaron - drôle - amical - poli - charmeur - beau parleur - taquin - sarcastique - romantique - contradictoire - têtu - rancunier...
Quelques signes particuliers : son humour noir particulièrement agaçant + son côté romantique tellement contradictoire avec sa personnalité + sa passion pour les vieux groupes de rock + son légendaire sourire, même aux enterrements + un trou à l'oreille gauche qui prouve qu'adolescent il avait bel et bien une boucle d'oreille.
► GROUPE: get bored and frustrated (je sais qu'Austen n'est pas marié, ni rien, mais il a laissé sa jeunesse de côté pour son travail donc c'est le groupe qui lui convient le mieux, je pense).
► VOTRE VISION DES CHOSES EN CE QUI CONCERNE LE QUARTIER : C'est bien le genre d'endroit qu'il déteste. En fait, tous les endroits qu'il a fréquenté, il les déteste. Alors pourquoi revient-il ici ? Parce que malgré les ragots, c'est un cadre idyllique et reposant. Il en a bien besoin.
Dernière édition par Austen Applewood le Jeu 28 Avr - 11:51, édité 12 fois |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 14:37 | |
| → INTÉRESSANT, PARDONNEZ MA CURIOSITÉ MAIS JE SOUHAITERAIS EN SAVOIR PLUS « Vous n'avez pas honte ? J'ai trois enfants, mon mari est décédé il y a trois mois, nous laissant plus de dettes que de bons souvenirs. J'ai quarante-cinq ans et vous pensez que je dois prendre ce licenciement comme l'opportunité de faire autre chose de ma vie ? » La femme en face de moi avait des larmes qui perlaient au coin de ses yeux. Je tentais de rester calme, de me montrer compatissant. Elle était comme toutes les autres personnes que j'avais renvoyé auparavant : désespérée, en colère. Et je la comprenais parfaitement. Elle avait de quoi vouloir faire valser mon bureau, elle aurait même pu me frapper. Je l'aurais compris. Mais tout ce qu'elle avait fait, c'est dire : « Vous, vous aurez toujours du boulot. Il y aura toujours besoin de personnes comme vous pour faire le sale boulot. Ca, pour embaucher, ils savent se montrer pointilleux. Mais quand il s'agit d'envoyer une famille dans la rue, ils sont obligés de faire appel à des gens comme vous. » Je baissais les yeux. Elle avait terriblement raison. Cette femme de quarante-cinq ans, désespérée, ne retrouverait sans doute jamais un travail ou en tout cas, pas un aussi bon que celui qu'elle avait dans cette entreprise. Le sentiment de culpabilité me rongeait. Comme toujours. Beaucoup de mes amis me demandaient comment je restais si mince, presque chétif. La réponse était que j'étais rongé par les remords, par la haine de mon métier. Je n'avais pas choisi d'être spécialiste du licenciement. Ce métier s'était présenté à moi, lors d'un stage dans un bureau d'avocat. Devant mon aplomb et mon ambition, un homme que mon maître de stage défendait m'avait donné sa carte. A la fin de mes études, ne trouvant aucun travail à dans ma ville natale, j'avais rappelé cet homme, et le lendemain, je sautais dans le premier avion pour New-York. Je me souviens que cette première journée fut rude. Une fois rentré à l'hôtel, j'avais pleuré toutes les larmes de mon corps. J'avais l'impression d'être responsable du malheur de ces gens. La collègue qui m'accompagnait ayant entendu mon désarroi à travers les murs de la chambre, était venu me consoler. Elle avait quarante-cinq ans, j'en avais vingt-trois et depuis ce jour-là, elle était un peu devenue une mère. « Ecoute Austen, tu n'es pas responsable de leur licenciement. Si nous ne l'avions pas fait, le patron aurait trouvé quelqu'un d'autre pour faire le sale boulot. Crois-moi, ils auraient été renvoyés, de toutes façons. Aujourd'hui, tu trouves ça horrible. Demain, tu trouveras aussi ce boulot horrible. Ca fait bientôt vingt ans que je fais ce métier, je culpabilise toujours autant. Il faut juste apprendre à vivre avec ça. » Je me souviens qu'elle avait posé une main sur mon épaule et en sortant de ma chambre, elle avait simplement dit : « Vois le bon côté des choses : on voyage grâce à notre boulot. » J'avais souri. Malgré mon dépit, j'avais réussi à sourire. Elle avait trouvé les mots pour me réconforter.
Si je me rapprochais beaucoup de cette femme, et je le savais pertinemment, c'était parce que mon enfance n'avait pas été des plus joyeuses. C'était tellement psychologiquement évident, que c'en était déprimant. Jamais je n'avais eu une mère aimante. Je n'avais eu que mon père. On parle beaucoup des mères célibataires. Jamais des pères. Pourtant, c'est aussi héroïque pour un homme d'élever un enfant seul que pour une femme. Mon père était fou amoureux de ma mère, je le voyais parce que ses yeux pétillaient lorsqu'il me racontait l'histoire de leur rencontre : le cinéma, la lumière tamisée qui avait vu leurs mains se rapprocher, un coup de foudre réciproque, une scène romantique dans un hôtel, une simple nuit magique. Et neuf mois plus tard, alors qu'elle avait disparu de la circulation, ma mère avait laissé un poupon devant la porte de mon père, avait sonné, et s'en été allée à jamais. Dans l'histoire, c'est à ce moment-là que mon père fronce les sourcils, qu'il veut se mettre à pleurer. Mais comme toujours, il reste digne. Il remonte le torse, sourit légèrement et dit : « Enfin bref. » Je ne renie pas le fait que mon père ait été un bon père. Ca non. Il a même été parfait. Il m'a juste manqué une mère, une poitrine contre laquelle me blottir. Les garçons sont souvent plus proches de leur mère. Je suis sûr que ce n'est pas une légende. J'ai encore en moi, aujourd'hui, cette envie de découvrir ce qu'elle est devenue, ce qui l'a poussé un jour, à m'abandonner comme un vulgaire journal ou comme une caisse de lait. Cependant, je crois que je ne le saurais jamais, car je n'aurais jamais le courage de me lancer dans des recherches plus approfondies. Dans ma vie, j'ai toujours choisi la facilité. Étonnamment, dans mes choix, professionnels ou sentimentaux, les gens ont toujours vu une personne ambitieuse et au caractère fort. Un leader. Je ne m'estime pas être un leader, pourtant. Mais la plupart du temps, les gens m'apportent toute leur confiance, parfois même ils me mettent des responsabilités sur les bras, ils espèrent que je les aiderais à sortir de telle ou telle situation. Peut-être parce qu'au fond, mon caractère est double. Je comprends que l'on fasse confiance à ma carapace : une personne sûre d'elle, un brin sarcastique, poli et charmant, une personne rigoureuse et organisée. Mais derrière cette carapace se cache mon vrai moi : empreint de doutes, sensible, torturé. Les gens n'essayent pas de gratter et d'abîmer ma carapace. Ils considèrent juste que je suis LA personne qui saura résoudre leurs problèmes.
Mon métier fascine. « Spécialiste en licenciement vous dites ? Et ça consiste en quoi, en fait ? » Je le vois déjà à sa manière de me regarder, mon métier lui plaît. Elle est un peu femme fatale, un peu cruelle, ça s'aperçoit à sa façon de se tenir, à sa façon de pincer ses lèvres après avoir posé une question. Elle finira dans mon lit ce soir, parce que les hommes qui ont du pouvoir, ça l'excite. « Et bien, quand un patron est incapable de faire le sale boulot lui-même, il fait appel à moi pour venir virer ses employés. En gros, je suis le gars qui fait chialer dans les chaumières, je me prends les insultes dans la gueule, les coups parfois même. Les gens ne comprennent pas que je n'y suis pour rien. » J'avais parlé de manière désinvolte, portant ensuite mon cocktail à mes lèvres. Observateur, j'avais tout de suite remarqué que cette femme était intéressée par moi. Comme cocktail, elle venait de prendre un cuba libre. Assez d'alcool pour se délier la langue, mais pas assez pour ne pas se souvenir de notre future nuit. En entendant mes paroles, elle se mit à rire doucement, et profita pour se pencher en avant, assez pour essayer de me prendre en flagrant délit de "matage de décolleté", ce qui l'aurait rassuré sur son pouvoir de séduction. Pour lui faire plaisir, je jetais un bref coup d'œil. Plutôt intéressant, même si je savais déjà qu'elle ne serait qu'une fille d'une nuit. Après tout, je préfère plus de mystère, plus de jeu, plus de défi dans une relation. Je n'aime pas ces groupies qui adorent m'entendre parler parce que je parais intelligent. Je n'aime pas quand elles rigolent parce que je viens d'être sarcastique mais qu'en réalité, elles n'y comprennent rien.
Sentimentalement parlant, j'ai toujours été nul. Simplement nul. Que ce soit au lycée, où aucune fille ne voulait m'adresser la parole. Ou bien à l'université, quand à l'inverse, elles me courraient toutes après et que je les consommais en file indienne. Ou que ce soit aujourd'hui, à vingt-cinq ans, où je n'ai encore jamais connu de relation de plus de trois mois. Désespérant, non ? En réalité, j'ai toujours été nul avec les filles. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être encore parce que je n'ai pas eu de référent féminin à la maison ? Ma vie tournerait-elle autour de cette mère que je n'ai jamais connu ? Vie cruelle. Je me rappelle, à l'université, de ma meilleure amie, Jodie, qu'elle s'appelait. Tous mes potes se moquaient d'elle, mais moi, elle était mon rayon de soleil. Il était vrai qu'elle était ronde, que ses kilos en trop la rendaient vulnérable aux moqueries. Mais moi, je la protégeais. Et je lui faisais comprendre que je serais toujours là pour elle, que je ne laisserais pas ces idiots se moquer d'elle. Jodie était l'une des rares filles à partager avec moi la passion des vieux groupes de rock comme les Smiths, les Beatles ou bien les Kinks. On passait notre temps à les écouter, allongés sur le lit, main dans la main, à refaire le monde. Ensemble, on était plus forts. Ensemble, on tentait d'apprivoiser l'idée d'un monde meilleur. Elle était moi, au féminin. Elle était mon moi profond, celui que je cachais aux autres personnes et qu'il n'y avait qu'elle qui connaissait. Elle avait su gratter et faire tomber le masque. Avec elle, ma carapace n'existait pas. Si bien que mes copains de fac, ces gros balourds, pensaient que Jodie et moi étions en couple. A cette époque, l'apparence compte beaucoup. Je me souviens avoir simplement baissé les yeux, quand l'un d'eux avait dit : « Alors, il paraît que tu sors avec Big Jodie ? » J'avais envie de dire que ça ne le regardait en rien, et que même si c'était vrai, il n'avait pas à l'appeler comme ça. J'avais juste dit, comme un idiot : « N'importe quoi. C'est juste une... une copine. » J'avais passé la main dans mes cheveux tandis que mon collègue de fac se mettait à rire à gorge déployée. Ce n'était pas moi qu'il regardait, mais juste à deux mètres plus loin. Jodie s'y tenait, les larmes aux yeux, légèrement tremblante. Jamais je ne m'étais senti aussi idiot. Tandis que Jodie partait en courant, humiliée par ce gars et par ma façon d'agir, je sautais sur cet idiot, bien décidé à lui faire avaler sa langue. Si j'avais pu lui donner la raclée de sa vie, j'aurais aussi voulu que quelqu'un m'en fasse voir de toutes les couleurs, c'était tout ce que je méritais. Le soir-même, je m'étais rendu à l'appartement de Jodie. Elle m'avait ouvert, elle était en pyjama, un pot de glace dans la main et elle regardait Ghost. Le cliché même de la rupture, mais je savais qu'elle était comme ça. Elle était un cliché et c'est ce que j'aimais chez elle. C'est que ce ne serait jamais ridicule pour elle, d'avaler une glace à la pistache devant Ghost parce qu'elle était déprimée. Elle n'avait rien dit, mais je devinais à ses yeux rouges qu'elle avait du pleurer. Je ne savais pas si c'était à cause de la fameuse scène de la poterie ou à cause de ce qui s'était passé l'après-midi, mais en tout cas, elle avait du pleurer à chaudes larmes. Et ça me fendait le cœur. Je n'avais su quoi dire, elle m'avait juste laissé passé, avait refermé la porte et avait foncé sur son lit, blottissant un coussin contre sa poitrine. Moi, j'étais resté debout, muet, tandis qu'elle m'était le film sur pause. Elle attendait que je parle, c'était un fait. Alors, j'avais fini par ouvrir la bouche : « Je peux prendre une cuillère dans ton placard ? » Comprenant mon approche, elle hocha la tête. Je me servis et vint m'assoir près d'elle, sur son lit. J'enfouis ma cuillère dans le pot de glace. J'espérais que tout serait plus simple autour d'une glace à la pistache. Elle me lança un regard timide, tandis que je portais la cuillère à ma bouche. Il fallait que je dise quelque chose si je ne voulait pas qu'elle me vire à coups de pied. « Ecoute Jodie, je suis désolé. Mes copains sont des crétins. » Elle fronça les sourcils. Ne la laissant pas m'attaquer, je renchéris : « Et je suis pire qu'eux parce que j'essaye de leur plaire. Je ne sais pas comment tu fais. Je veux dire... Ils passent leur temps à te rabaisser et même si ça te fait pleurer parfois, tu supportes. Moi je ne supportes pas de les entendre t'appeler Big Jodie. » Elle ferma doucement les yeux, souffla puis finit par dire : « Tu veux que je fasses quoi ? Que je perde du poids pour qu'enfin t'acceptes de voir qu'il y a plus qu'une putain d'amitié entre nous ? » Jamais je ne l'avais vu dans un état pareil. Elle me semblait tellement désorientée que ça m'en faisait mal aux tripes : « Peut-être après tout que ma graisse t'empêche de voir que mon coeur bat plus fort à chaque fois que tu frôles ma peau ? » Je ne supportais pas de l'entendre parler d'elle comme ça. Elle se dévalorisait et c'était incroyable comment ça me faisait de la peine. Hors de moi, je pris le pot de glace de ses mains, le posait sur la table de chevet. Puis, mes mains vinrent se glisser dans les siennes. Elle regarda nos mains liées, mais détourna les yeux rapidement pour ne pas être submergée par l'émotion. « Si je suis juste une copine, tu n'aurais jamais du me laisser croire le contraire. Pourquoi... Pourquoi tu disais : "on a besoin de personne d'autre. Nous deux, de l'amour et de l'eau fraîche." Je retiens tous les mots que tu me dis. Tu sais bien que je suis comme ça. Que ma vie, c'est une comédie romantique et que j'analyse chaque geste que les hommes ont envers moi. Tu es un homme, tu aurais du te douter que tu ne faisais pas exception... » Ses mots me firent exploser le coeur, mais elle avait besoin de les prononcer, alors je la laissais faire. « Je fais la même chose avec toi. J'analyse chacun de tes gestes aussi. Quand je sens ton coeur battre à cent à l'heure dans ton poignet, je me dis que ce n'est peut-être pas à cause du film que l'on regarde mais peut-être le fait que je te tiens la main. Tu sais bien aussi que je suis un putain de romantique. Je... Je suis juste incapable d'assumer une future relation avec toi. » « Parce que je suis grosse. » « Non. Parce que je te ferais du mal. Comme je t'en ai fait aujourd'hui. » Je savais pourtant que tout cela était lié à son poids. C'était stupide comme raison pour s'empêcher d'aimer. C'était pourtant ce que je faisais : je m'empêchais de l'aimer. Je m'empêchais d'être heureux. Elle fronça les sourcils, vint déposer un baiser au coin de mes lèvres et elle se leva, m'indiqua la porte et dit calmement : « Je crois qu'il est temps que tu partes. »
J'avais brisé notre amitié en brisant notre amour. Indéniablement, nous étions passé du stade inséparable au stade du bonjour poli dans les couloirs de l'université. Ca me crevait le coeur de la voir rire avec d'autres personnes, de la voir se rapprocher d'autres garçons. C'était ça, qu'on appelait l'amour. Mais j'étais bien trop c*n pour m'en apercevoir. Encore aujourd'hui je suis hanté par Jodie. Parfois son rire vient prendre place dans mes rêves, parfois, je crois apercevoir sa silhouette dans les rues des villes où je travaille. « Réveilles-toi Austen, tu fais un boucan pas possible, tu vas réveiller tout l'avion. » Je fixais ma collègue et tout d'un coup, j'ai dit : « Je rentre à Wooden Lane. » Je n'en pouvais plus de ce boulot de malade. Il était grand temps pour moi de prendre des vacances. Revenir dans ma ville natale me semblait être une bonne solution. Cela fait à peine quelques jours que j'étais revenu dans cette ville bourgeoise. Et déjà les vieux souvenirs remontent à la surface.
Dernière édition par Austen Applewood le Jeu 28 Avr - 12:01, édité 4 fois |
| | | | Katherine Pierce
— INSCRIT LE : 16/11/2010
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 14:39 | |
| *Traverse la rue avec un panier de muffin* Bonjour et bienvenue à Wooden Lane. Bonne chance pour votre emménagement
(je te le réserve) | |
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| | | | | Katherine Pierce
— INSCRIT LE : 16/11/2010
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 14:42 | |
| Mais de rien, un nouveau résident à Wooden Lane est toujours accueilli avec sympathie. | |
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| | | | | Katherine Pierce
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 18:06 | |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 20:06 | |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 20:18 | |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 23:01 | |
| Oooh, j'adore ton avatar  Welcome ! |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Mer 27 Avr - 23:12 | |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Jeu 28 Avr - 11:27 | |
| SALLY-JUDE - Merci beaucoup  Qu'est-ce qu'elle est belle KIKIBELL  LAWRENCE - - FUCKING Jensen  Je l'aime  Je te remercie MENDY - Merci beaucoup JAMIE - Tu m'épouses ?   TROIAN est si belle Tu as fait un choix d'avatar exquis là  Merci beaucoup |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! Jeu 28 Avr - 13:22 | |
| j'aime ta fiche, je te valide ! N'oublies pas de recenser ton avatar  |
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| | Sujet: Re: AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! | |
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| | | | | | AUSTEN ✎ Un jour les femmes domineront le monde, mais pas demain, demain : ménage ! | |
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toi et tes muffins XD
